Alyssa Black

Alors, voilà, je vous met les chapitre que j'ai écrit pour l'instant :

notes de l'auteur:
C'est une fanfiction sur l'univers d'Harry Potter. Les magnifiques décors et les merveilleux personnages de cette fanfic' sont de J.K ROWLING. Le personnage d'Alyssa Black est de mon invention, son histoire comprend des personnages de J.K. ROWLING mais dont j'ai légèrement modifié le passé. Pour les fautes d'orthographe (dont je pense que mon récit en sera parsemé) je vous demande de ne pas trop vous formalisez. Elles seront en partie corrigées par l'ordinateur. Quant à la trame de mon histoire, soyez indulgents je vous prie car c'est ma première fic'. Les chapitres ne seront peut-être pas très long car cela dépendra de mon inspiration du moment. Si vous ne comprenez pas quelque chose dans mon récit, n'hésitez pas à me le faire savoir. Ceci étant fait, je vous souhaite une bonne lecture et j'espère de tout mon cœur que vous l'apprécierez.


Chap 1: présentation

Alors voilà, Je m'appelle Alyssa Black. Je n'ai pas de mère, par contre, j'ai deux pères. Je sais ça vous paraît complètement loufoque et pourtant, c'est la vérité, aussi incroyable soit-elle. Mon premier père, vous le devinerez sûrement, n'est autre que le grand Sirius Black, dangereux criminel envoyé à Azkaban lorsque je n'avais que 10 mois. Quant à mon second père, c'est le plus grand mage noir qui ait jamais existé. Il se faisait appeler "Lord Voldemort". Vous vous demandez peut-être comment peut-on avoir deux pères? Et bien c'est extrêmement simple. Il faut que deux hommes aient envie d'avoir un enfant. Celui qui sera la "mère porteuse" devra avaler une potion très compliquée juste avant "l'acte".

Tout commence lorsque mon père, Voldemort, se faisait encore appeler Tom Jedusor. Il avait réuni, autour de lui, un petit groupe de personnes appelés "Mangemort". Ce jour là, il était à la recherche d'informations sur les Horcruxes quand il tomba sur un livre qui émettait des petits couinements plaintifs. Il l'ouvrit et le livre poussa un gémissement de soulagement. C'était un livre de magie d'un niveau très avancée. Tom l'ouvrit au hasard. Il lut la page sur laquelle il était tombé. « RECETTE POUR QUE DEUX HOMMES QUI S'AIMENT AIENT UN ENFANT. » Il s'arrêta un instant, étonné de cette recette. Il reprit sa lecture : « INGREDIENTS :
- Une patte de Lézardimus complicatus
- Une goutte de salive de Draconus pimentatus maximmus
- Du sang de Gigantimus humanoïde extravertus
- Une pierre de lune
- Un bézoards
- Une griffe de Tigerus caninus maxima
- Une langue de Farfadetum malicius espieglimus
- Du jus de graine de Bubolbulb
- Dus pus de Bubobulb
- 200g d'œils de Scarabées
- 205ml de sirop de térébenthine

TEMPS :
2 H 00 » Il interrompit un instant sa lecture, se frotta les yeux puis repris. Sa mémoire enregistrait le moindre détail. Puis il reposa le livre. Il ranima la torche dont il s'était munis. Il prit le livre et le glissa dans son sac. Il reprit sa recherche sur les Horcruxes. Quand il eut trouvé, il le prit aussi.

Bref, toujours est-il qu'il gardât ce livre et toutes les recettes qu'il contenait. C'est incroyable, n'est-ce pas? Mais vrai. Il n'y pensa plus durant toute sa scolarité. Enfin bon, l'essentiel n'est pas là. Puis un jour, environs une quinzaine d'année après qu'il soit devenu Voldemort, ses fidèles attrapèrent mon père, j'entends par-là Sirius Black. (Je crois que je ferais mieux de les appeler par leur nom, ce sera plus facile pour vous pour lire et pour moi pour écrire.) Donc, Sirius, qui était en mission pour l'ordre du Phœnix, se fit prendre alors qu'il examinait l'emplacement du Q.G du seigneur de ténèbres. Il fut amené devant Voldemort pour être torturé et tué. Celui-ci congédia ses mangemorts qui partirent de mauvaise grâce. Ils restèrent seuls un moment, s'affrontant du regard. Ils baissèrent les yeux en même temps. Ce duel silencieux les avait liés de manière irréversible. Voldemort fit courir le bruit qu'il avait tué Black. En vérité, Sirius Black était toujours bien vivant, mais le seigneur des ténèbres avait envie de lui. Comme il n'avait pas de petite amie (le seigneur des ténèbres), il n'avait pas non plus d'héritier. Il décida donc de faire de Black le père de sa progéniture. En effet, ainsi non seulement l'enfant serait de sang pur (pour ma fic', on va dire que Voldemort est un sang pur.), mais en plus, il hériterait d'un fort caractère et d'une grande puissance magique, plus grande que n'importe qui existant, ayant existé ou qui existerait. Il ressortit donc le livre qu'il avait trouvé à Poudlard dans la réserve de la bibliothèque. Il prépara la potion et la fit boire à Sirius. (H.S. : Mon chien s'appelle Sirius, c'est une drôle de coïncidence, non? Mais bon je m'égare là…) Peu de temps après, Sirius découvrit qu'il était enceinte (Je ne décrirais pas la scène, je n'arrive pas.) Il resta 9 mois auprès de Voldemort puis, je viens au monde. Sirius ne voulait plus rester caché et s'enfuit avec moi. Il alla voir la personne qu'il jugeait la plus apte à l'aider, James Potter. James s'était marié avec Lily Evans et avait eu un fils qu'ils avaient appelé Harry. Sirius leur raconta tout et les Potter lui offrirent l'asile. Ensuite, quand Dumbledore vint les voir, ils lui racontèrent tout. Il déclara que le mieux qu'il pouvait faire était de me placer sous une protection magique. Tant que je ne saurais pas que Voldemort était mon deuxième père. Personne ne devait me le révéler avant mon onzième anniversaire. Sirius demanda à James s'il voulait devenir mon parrain et il proposa à Lily de devenir ma marraine. Ceux-ci acceptèrent. Sirius s'installa dans une maison qu'il avait acheté tout à côté de Chez les Potter et tout le monde vécut en harmonie avec les autres. Or il advint qu'un jour James et Lily furent tués et Voldemort pulvérisé à la suite du mauvais sort qu'il avait jeté sur Harry Potter, le fils de Lily et James Potter. La suite, vous la connaissez, Sirius croit tuer Pettigrow, il est arrêté, etc., etc., etc.….
Harry fut confié aux Dursley et moi, Dumbledore me plaça dans une famille de moldus très gentils qui avaient eu une fille nommée Hermione. Vous l'avez devinez, c'est la famille Granger. Je m'entendais très bien avec Hermione et elle devint comme ma sœur de cœur. Je grandis en sécurité sans aucun soucis. Bien entendu, les Granger était conscient de ma situation et du fait que je n'étais pas comme eux. Á mon onzième anniversaire, ils me dirent toute la vérité. Puis, je reçut ma lettre, celle qui disait que j'étais une sorcière inscrite à Poudlard, l'école de sorcellerie; Et ô miracle, Hermione en reçut une aussi. Jamais je n'ai été aussi joyeuse qu'en cet instant. Hermione et moi sommes devenue intenables. Excitée comme des puces, encore plus que d'habitude si c'est possible. Nous sommes allées sur le chemine de traverse pour faire nos achats. Le vendeur de baguette m'en donna une qui s'échappa de mes mains. Il la reprit et m'en donna une autre. Celle-ci me sauta également de mes mains. Il m'en fit choisir une qui faillit me sauter au nez puis la dernière baguettes qu'il me mit dans les mains Produit un sifflement faillit se dérober puis répandit une grande chaleur dans mon corps. « Bois de Charmes, 28.75 cm, Cheveux de vélane mélangé à une plume de phénix, à un crin de licorne, à une écaille de dragon, à un ventricule de dragon, à une plume de pégase et à une mèche de sirène et de déesse de la magie. C'est vraiment extraordinaire que se soit spécialement celle-ci qui vous ait convenu mademoiselle, c'est une baguette unique en son genre et très complexe. Elle est également la seule à posséder un caractère propre à elle. » Ensuite, après avoir acheté tout ce qu'il nous fallait, nous sommes rentrée à la maison. Puis le 1er septembre, nous sommes allées à la gare de King Cross. Bien évidemment, nous ne savions pas où était la voie 9¾.


Chap.2 : 1ère année

Dsl si mes chapitres sont courts mais ils devraient s'allonger.

Hermione et moi étions un peu perdue, nous ne savions pas où se trouvait la voie 9¾. Tout à coup, j'aperçut un petit groupe de personnes devant nous. Ils étaient six. Six rouquins et un petit brun. Ils étaient aussi chargés que nous et se dirigeaient vers un mur. Effarée, Je les vis courir vers un mur situé entre les voies 9 et 10. Ils traversèrent le mur sans aucun problème. Je donnais un coup de coude à Hermione et je fonçais vers le mur. Nous le franchîmes en même temps. Nous débarquâmes sur le quai de la voie 9¾. On monta dans le train et je me mis en quête d'un compartiment libre. J'en trouvais un dans le fond. Je m'y installais puis Hermione vint me rejoindre. Elle avait été voir le conducteur pour savoir combien de temps durerait le trajet. Elle s'installa de même. Peu de temps après, un jeune garçon joufflu vint dans le compartiment demandant s'il restait de la place. Il s'appelait Neville Londubat. Le voyage se déroula sans encombres jusqu'à ce que Trévor, le crapaud de Neville se décida à explorer le train. Hermione partit avec Neville faire le tour des compartiments pour savoir si quelqu'un l'avait vu tandis que moi je restais dans le mien au cas où Trévor reviendrait. Peu de temps après, la porte du compartiment s'ouvrit et je crus que c'était Hermione qui revenait. Je me levais d'un bond et je dis:«
- Ah! Bah dis donc, vous avez été plutôt rapides………»
Les mots moururent sur mes lèvres car je me rendis compte que ce n'était pas Hermione et Neville qui revenaient. Je me rassis lentement, les regardant avec méfiance. Comme ils ne parlaient pas, se contentant de m'examiner, je me calais bien confortablement dans mon siège et j'en fit autant. Il s'agissait de quatre garçons plus grand que moi par la taille. Il y en avait deux qui ressemblait à des gorilles. L'un d'eux était brun, plutôt pas mal, avec des cheveux courts hérissés sur la tête maintenus par du gel. Il avait les yeux d'un vert glacial. Ses lèvres, plutôt gourmandes, s'étirèrent en un sourire moqueur quand il vit que je le dévisageais. Le second était blond platine avec la même coupe de cheveux que le premier. Ses lèvres étaient fines et bien dessinées, leur couleur rouge sang contrastait avec la pâleur de son teint. Ses yeux, gris acier, ne laissaient paraître aucune émotion. Il était du reste bien fait de sa personne et conscient de l'être. Il remarqua à son tour que je le regardais et il m'adressa un sourire narquois. Son regard froid captura le mien. Il présenta d'abord ses potes et termina par lui. J'appris ainsi qu'il s'appelait Draco Malfoy, que son pote, le brun pas mal, s'appelait Blaise Zabini et que les deux gorilles, eux, avaient pour nom Vincent Crabbe et Grégory Goyle. Je me présentais à mon tour. Il allait parler quand la porte du compartiment s'ouvrit avec fracas, laissant apparaître Neville, le brun de tout à l'heure, un des rouquins que l'on avaient aperçut sur le quai tout à l'heure, avec qui se disputait Hermione. Les quatre garçons se retournèrent en même temps, me masquant par la même occasion à la vue des autres. Hermione, arrêtant de se disputer un moment avec le rouquin, dit: «
- Où est Alyssa? Qu'est-ce que vous faites là vous?
- Je suis là Hermione, dis-je en me levant.
- AH! Mais eux, qu'est-ce qu'ils font là?
- Du calme! lança Draco. On est juste aller venu faire le tour des compartiments pour savoir si quelqu'un avait l'heure et, apparemment, Alyssa ne l'a pas. C'est pas très évolué dans ce compartiment, venez les mecs, on s'arrache! »

Sur ces mots, ils quittèrent le compartiment. Hermione me demanda, anxieuse: «
- Ca va?
- Oui pourquoi?
- Je ne sais pas, ils étaient pas net.
- Ah bon?
- Enfin bref, Alyssa, je te présente Harry Potter et Ronald Weasley. Harry, Ronald, je vous présente ma presque-sœur Alyssa Black. Je la considère comme ma sœur car on a grandit ensemble.
- Black?! demanda Ronald Weasley, C'est le nom d'un grand criminel envoyé à Azkaban! Je croyais qu'il n'avait pas d'enfant?!
Hermione, Harry et moi avons demandé ensemble:
- Qui est Black?
- Sirius Black, c'est le plus grand criminel de l'histoire après tu-sais-qui ! Vous ne le connaissez pas?
- Non! On n'a pas vécut dans le même monde que toi ces onze dernières années.
- Ah!? Bah c'est pas grave, oubliez ça. Bon alors, Alyssa, je te présente mon rat Croûtard. Croûtard, voici Alyssa.
- Enchantée Croûtard, dis-je en riant.»
Le voyage continua comme ça sans encombre jusqu'à Poudlard. Quand le train s'arrêta, nous nous dépêchâmes d'enfiler nos robes de sorciers et nous descendîmes du train. Sur le quai, une silhouette gigantesque dit d'une voix forte : «
- Les premières années par ici s'il vous plaît. »
Nous suivîmes le flot de premières années qui se dirigeait vers le géant. On traversa le lac dans les barques et on se retrouva à attendre grelottant sur le pas de la porte du hall d'entrée. Une dame en robe pourpre vint vers nous en rajustant ses lunettes sur son nez. Elle avait dans ses mains sa baguette magique. «
- Très bien, les premières années, je suis le professeur McGonagall, suivez-moi pour la répartition. »

je met la suit d ce que j'ai écrit tout de suite. J'ai pas pu le mettre en un seul message, c'était trop long.

notes de l'auteur:

encore un chapitre un peu court. désolé mais je crois que le 5 ou 6ème chapitres seront plus long. Autre chose, il y aura de l'attente, parfois longue ou pas, entre les chapitres.
J'avais prévu d'attendre entre ses chapitres là mais bon...

Chap.3 : répartition

Résumé: Alyssa et Hermione ont fait la connaissance de Ronald Weasley? Neville Londubat, Harry Potter et la bande à Draco Malfoy comprenant lui-même, Blaise Zabini et deux gorilles du nom de Crabbe et Goyle. Elles sont ensuite arrivées au château et attendent pour la répartition. «
- Très bien, les premières années, je suis le professeur McGonagall, suivez-moi pour la répartition. »
Nous suivîmes le professeur MacGonagall à travers le hall du château. Elle ouvrit la porte et nous entrâmes. McGonagall nous dit de rester là. Elle s'avance vers la table des professeurs et prit un tabouret sur lequel était posé un vieux chapeau miteux. Une déchirure près du bord s'ouvrit en grand comme une bouche et le chapeau se mit à chanter. Il avait une voix grinçante. Puis quand il eut finit, McGonagall s'avança avec, dans la main, un parchemin. Elle dit : «
- Très bien. Les premières années, quand je vous appellerais, vous viendrez vous asseoir sur ce tabouret et mettrez le Choixpeau sur votre tête. Je commence :
~ Abbot, Hannah !
~ POUFSOUFFLE ! cria le Choixpeau.
~ Al'Meara Ninaeve !
~ SERDAIGLE !
~ Al'Thor Rand !
~ GRYFFONDOR !
~ Al'Vere Egwene !
~ Aybara, Perrin !
~ GRYFFONDOR !
~ Black, Alyssa !
Le Choixpeau eut beaucoup de mal à se décider. Finalement, Il m'envoya à :
~ GRYFFONDOR !
~ Bones, Susan !
~ POUFSOUFFLE !
~ Boot, Terry !
~ SERDAIGLE
~ Brocklehurst, Mandy !
~ SERDAIGLE !
~ Brown, Lavande!
~ GRYFFONDOR !
~ Bulstrode, Millicent !
~ SERPENTARD !
~ Cauthon, Matrim !
~ GRYFFONDOR!
~ Crabbe, Vincent !
~ SERPENTARD !
~ David, Lia !
~ GRYFFONDOR !
~ Dawson, Hector !
~ SERPENTARD !
~ Finch-Flechtley, Justin !
~ POUFSOUFFLE !
~ Fournier, Teddy !
~ GRYFFONDOR !
~ Gagnons, …milie !
~ SERPENTARD !
~ Goyle, Gregory !
~ SERPENTARD !
~ Granger, Hermione !
~ GRYFFONDOR !
~ Heffort, Lydia !
~ SERPENTARD !
~ Idéel, Séléné !
~ SERPENTARD !
~ Javoine, Lanfear !
~ SERPENTARD !
~ Kaith, Rahvin !
~ SERPENTARD !
~ Keita, Semhirage !
~ SERPENTARD !
~ Kiray, Graendal !
~ SERPENTARD !
~ Leita, Asmodean !
~ SERPENTARD !
~ Leitha, Sammael !
~ SERPENTARD !
~ Londubat, Neville !
~ GRYFFONDOR !
~ MacDougal, Morag !
~ POUFSOUFFLE !
~ Mandragoran Al'Lan !
~ POUFSOUFFLE !
~ Malfoy, Draco !
~ SERPENTARD !
~ Moon, Marianne !
~ SERDAIGLE !
~ Nott, Lucas!
~ SERPENTARD !
~ Parkinson, Pansy !
~ SERPENTARD !
~ Patil, Padma !
~ SERDAIGLE !
~ Patil, Parvati !
~ GRYFFONDOR !
~ Perks, Sally-Anne !
~ SERDAIGLE !
~ Potter, Harry !
~ GRYFFONDOR !
~ Taim, Mazrim !
~ GRYFFONDOR !
~ Temapon, Logain !
~ GRYFFONDOR !
~ Trakand, Elayne !
~ SERDAIGLE !
~ Trakand, Gawin !
~ GRYFFONDOR !
~ Turpin, Lisa !
~ POUFSOUFFLE !
~ Ward, Moiraine !
~ POUFSOUFFLE !
~ Weasley, Ronald !
~ GRYFFONDOR !
~ Xyfon, Elaida !
~ POUFSOUFFLE !
~ Zarine, Faile !
~ POUFSOUFFLE !
~ Zeive, Alanna !
~ POUFSOUFFLE !
~ Zabini, Blaise !
~ SERPENTARD !
Une fois la répartition terminée, le professeur Dumbledore se leva et prononça deux mots : « Bon Appétit ! ! ! » Tout le monde applaudit et les assiettes se remplirent de délicieuses victuailles.

je met le chap. suivant après, c'est trop long sinon.

Chap.4 : évènements


Résumé : Une fois la répartition terminée, le professeur Dumbledore se leva et prononça deux mots : « Bon Appétit ! ! ! » Tout le monde applaudit et les assiettes se remplirent de délicieuses victuailles.
Quand le banquet de début d'année fut terminé, les préfets demandèrent aux première année de les suivres. Chaque maison se sépara dans le hall d'entrée. Les Serpentards se dirigèrent vers les cachots, les Serdaigles montèrent aux 2ème étage, les Poufsouffle, eux, allèrent dans les tour Ouest du château et nous, les Gryffondor, nous montons au 7ème étage. Le portrait qui gardait l'entrée de la salle commune représentait une grosse dame dans la force de l'âge. Le préfet murmura le mot de passe et nous laissa entrer dans la salle. Une fois le trou recouvert par le portrait, le préfet s'adressa à nous : «
- Le mot de passe pour rentrer dans la tour est "anges ou démons?". La tour Est est interdites aux élèves. Sur ce, je vous souhaite une bonne nuit et je vous retrouverais demain matin pour la distribution des emploi du temps. Soyez à 9h00 dans la grande salle pour le petit déjeuner. Les dortoirs des garçons sont à gauche et ceux des filles à droite. »
Il partit ensuite et un brouhaha remplit la salle peu à peu. Je cherchais Hermione du regard et je la vis en grande discussion avec Harry Potter et Ronald Weasley. Comme je n'aime pas m'incruster quand les gens parlent entre eux, je fis comme si je ne l'avais pas vue et je montais dans mon dortoir. Je vis tout de suite où j'étais placée. Ma valise et mon chat m'attendaient. (Je ne vous avais pas dit que j'avais un chat? Oh! pardon! En tout cas maintenant c'est plus ou moins fait. Je reviendrais dessus en temps voulu pour l'instant sachez qu'il est une femelle qui s'appelle Demoniak. Eh! Oui, c'est un drôle de nom mais bon……) J'étais située tout au fond, à droite. Au moins, je n'aurais pas de problèmes pour dormir les matins où on aura pas cours. Je cherchais la salle de bain du regard et j'y allais. Je me fit couler un bain où je restais 25 minutes. Puis, je sortis du bain et je me mis en pyjama. Je constatais que personne n'était encore venu dans le dortoir. Je m'allongeais donc dans mon lit et je m'endormis.
DRIIIIING!!!! DRIIIIING!!!! DRIIIIING!!!! «
- Grmmmblgr!!! Zut! Il est d'ja l'heure Hermione?
- hummm?
- Rien. » Je pris mon courage à deux mains et j'ouvris un œil. Le dortoir était encore sombre. Je pris une grande inspiration et je dis d'une voix forte : «
- DEBOUT TOUT LE MONDE, C'EST L'HEURE !!!!!! IL FAUT ÊTRE PRÊTE à 9h00 DANS LA GRANDE SALLE !!!!! »
Hermione m'envoya un oreiller sur la tête. Je le lui renvoyais. Je me bougeais et sortis du lit. Je m'engouffrais dans la salle de bain et en ressortis habillée. Quand je sortis de la salle de bain, les filles étaient enfin levée. Elles avaient une tête pas possible mais elles étaient réveillées. Je dis à Hermione : «
- Je descends, je vais manger.
- D'accord. Á toute à l'heure. »
Je descendis donc dans la salle commune et je vis Ronald Weasley qui discutait avec Harry Potter. Quand ils m'aperçurent, ils vinrent vers moi me dirent : «
- Bonjour Alyssa, tu vas bien?
- Oui, merci, et vous?
- Très bien, répondit Harry.
- Moi aussi, ça va, dit à son tour Ronald Weasley.
- Ok! Si vous attendez Hermione, vous pouvez attendre longtemps, elle vient juste de se réveiller.
- Compris!
- Moi je vais manger, à toute à l'heure!
- Á toute à l'heure. » Je sortis donc de la salle commune et je descendit manger. Je vis que beaucoup de gens étaient déjà levés. Je déjeunais en paix et quand j'eus fini, je remarquais que tout le monde était descendus. Le préfet de Gryffondor se leva et dit : «
- Bien pour les Gryffondor, la distribution de l'emploi du temps se fera dans le hall, près des sabliers. Allez dépêchez-vous.
- Vous venez? Demandais-je à Ronald, Hermione et Harry.
- On arrive, dirent Hermione et Harry. Ronald était toujours e train de manger.
- Ronald?
- Quoi?
- On va chercher nos emploi du temps!
- J'arrive et s'il te plaît, appelle-moi Ron pas Ronald.
- D'accord Ron mais dépêche-toi!
- Ch'arrive, voilà! Hermione dit soudain :
- Ne parle pas la bouche pleine Ronald Weasley!
- Ne parle pas la bouche pleine Ronald Weasley! » Répéta deux voix. On se retourna et les jumeaux Weasley étaient juste derrière nous. Ils regardaient Ron avec une expression malicieuse. «
- Tu as entendu Ronald Weasley, faut pas parler la bouche pleine!
- Oh! La ferme vous deux! dit le principal intéressé.
- Oh! La ferme vous deux! répétèrent les jumeaux. Tu sais, il faut que tu témoigne plus de respect à tes aînées.
- Fred, Georges! Arrêtez d'embêtez Ronald! Allez donc cherchez vos emplois du temps. Intervint Percy Weasley, le préfet en chef de Gryffondor.
- Très bien monsieur je-suis-le-préfet-en-chef-donc-arrêtez-de-faire-des-conneries!!!
- Dépêchez-vous!
- A plus tard Harry! » Les jumeaux firent une grimace à Percy et filèrent en compagnie d'un garçon avec des dreadlocks qui paraissait être en même année qu'eux.
Enfin voilà, c'est comme ça que c'est passée ma première journée dans le monde des sorciers. Je vais avancer un peu dans le temps. (une ellipse je crois qu'on appel ça) Alors nous sommes à la fin de l'année. Harry, Ron et Hermione ont décidé d'aller voir ce que cache Touffu. Ils sont devant la porte.

Encore trop long donc faut que je coupe le chap. en 2

J'étais à la bibliothèque quand j'ai vu que Rusard arrivait. Je me dépêchais de sortir et je voulu retourner à la tour de Gryffondor mais je me trompais de chemins. Je vis devant moi Harry Ron et Hermione qui couraient vers une porte fermée. Je me dirigeais vers eux. Ils m'aperçurent et s'arrêtèrent. Je leurs demandais :
- Vous allez où?
- On essaient d'échapper à Miss Teigne. Si elle nous voient, elle va prévenir Rusard.
- Rusard est à la bibliothèque. Enfin il y était quand j'en suis partis.
- Alors il va bientôt venir. Miss teigne est partie en direction de la bibliothèque. Viens, on va se cacher là.
- D'accord. » On essaya d'entrer dans la pièce mais la porte était fermée. Hermione se mit devant et murmura : «
- Alohomora! » On s'engouffra dans la salle et on referma la porte. Je dis tout haut : «
- Je me demande pourquoi cette porte était fermée?
- En tout cas, si elle était fermée, Rusard ne nous cherchera pas là! Dit Harry.
- Oui c'est vrai…… » Je me tus brusquement. J'avais senti que Rusard s'approchait. «
- Alors ma douce, cherche, cherche donc les élèves qui enfreigne le règlement. Ils ne sont pas là? Hummm, dommage. Allez, viens, on va chercher ailleurs. »
Un soupir de soulagement m'échappa. Hermione regarda derrière nous et se figea. Elle était pétrifiée par quelque chose. Je me retournais vivement et je vis la cause de l'état d'Hermione. Un gigantesque chien se dressait devant nous. Je me souvins alors d'une phrase de Hagrid, le garde-chasse. "Les chiens aiment beaucoup la musique, tout les chiens." Je me souvint aussi qu'Hagrid avait offert une flûte à Harry. Je demandais : «
- Harry?
- Oui?
- Tu as ta flûte? Celle que Hagrid t'a offert.
- Euh……oui.
- Alors prends là et joue un air. N'importe quoi.
- Euh……….je suis pas doué pour la musique.
- C'est pas grave joue n'importe quoi.
- Ok. » Harry mit la flûte à sa bouche et fit une note en continu. Touffu, car c'était le nom du chien, s'endormit progressivement. Harry voulut s'arrêter mais en voyant que Touffu remuait ses oreilles, je lui dit de ne surtout pas s'arrêter. Hermione et moi, on dégagea une trappe planquée par une patte de Touffu. Je dis aux autres : «
- Je passe en première?
- Non dis Harry. Prends ma flûte, c'est moi qui passe en premier.
- D'accord! » Je pris la flûte et je jouais l'air de "la Bamba". Harry sauta et, une fois en bas, il dit : «
- C'est bon vous pouvez y aller! »
Ron descendit, puis Hermione suivit. Je jetais un dernier regard à Touffu puis, je sautais. Je tombais dans quelque chose de mou. Quand je sentis quelque chose me saisir les pieds, je poussais un cri perçant. Ron me demanda ce que j'avais, je le regardais et dit : «
- La même chose que toi! » En effet, des lianes ou je ne sais quoi commençaient à l'étouffer dans leur étreinte. Harry remarqua la même chose sur lui. Hermione fut la seule à garder son sang-froid. Elle réfléchit intensément puis dit : «
- Je sais! C'est un filet du diable! Dans la froide obscurité il vit, et, dans la chaude lumière il dépérit. Il faut de la lumière et de la chaleur. Comment on va faire? » Elle poussa un cri inarticulé et bascula dans le vide. Elle fut bientôt suivit par Harry. Il lui dit de faire du feu. «
- Mais comment?
- Tu es une sorcière, oui ou non?
- Ah! Oui, c'est vrai. J'avais oublié. » Je lui hurlais de se dépêcher car je commençais à étouffer. Ron était dans le même cas que moi. Elle fit alors jaillir une flamme de sa baguette. La plante se rétracta d'un coup et j'atterris durement sur le sol froid. Je me relevais vivement, époussetant mon uniforme. ( Mon uniforme était composé d'un chemisier blanc avec les manches ornées de rouge et or, symbole de Gryffondor. J'avais aussi une jupe, noir, avec une ceinture couverte de lion rouge et or. J'ai également une cravate rouge et or. Pour l'instant, mes cheveux ordinairement bien coiffés, retombant avec grâce sur mes épaules en des boucles raffinées, étaient décoiffés. Une légère rougeur due à l'oppressante étreinte du filet du diable, colorait mes joues habituellement pâles.) En tombant, je m'étais fais affreusement mal à la cheville. Je me dirigeais vers les autres en boitillant.Suite:

«
- Bien, on va où, maintenant?
- Je crois qu'il faut suivre le couloir, dit lentement Harry.
- Oui, c'est sûrement ça, répondit Hermione, il y a des traces de pas qui mènent dans cette direction.
- Reste à savoir quels trucs tordus nous attendent. grimaça Ron.
- Ce n'est pas des "trucs tordus" Ronald Weasley! assena Hermione, c'est des sortilèges de protection. Quant à savoir ce que ça protège, il faudra aller jusqu'au bout pour le savoir.
- C'est quand même complètement tordus! D'abord un chiens gigantesque à trois tête qui nous bave dessus en nous prenant pour son dîner, maintenant un filet machinchose qui veut nous couper la respiration!! Qu'est-ce qui nous attend après? Un ogre tueur affamé et bête comme ses pieds? Ou peut-être une Harpie déchaînée?
- C'est vrai que le "truc" est vachement bien protégé! dis-je.
- Oui, le chien à trois têtes "Touffu" c'est la protection d'Hagrid, le filet du diable, c'est Chourave, et Hagrid à dit que TOUT les profs ont apporté leur propre protection.
- Donc il nous reste à passer les protections de Rogue, McGonagalle, Dumbledore, Flitwick et Quirell, dit sombrement Harry.
- Sois pas si négatif!! Faut voir le bon côté des choses! On à plus que cinq épreuves à passer! dis-je
- Mouais! » La discussion se termina sur ces mots. On se dirigea vers un couloir qui s'enfonçait plus loin. J'entendis un bruit qui faisait comme s'il y avait des centaines d'oiseaux qui voletaient dans une pièce. Peu après, une porte se dressa devant nous, au détour d'un couloir. Harry, qui marchait en tête, ouvrit la porte. Je vis des dizaines de petits oiseaux brillants qui volaient près du plafond. En m'approchant plus, je vis que ce n'étaient pas des oiseaux mais des clefs qui volaient. Oui, des clefs!! J'aperçut ensuite quatre balais Nous en prîmes chacun un et nous chassâmes les clefs. Harry nous dit qu'il en fallait une toute rouillée. On la pris en chasse et on réussi enfin à l'attraper. Hermione l'inséra brutalement dans la porte et la tourna. On entendit un déclic et la porte s'ouvrit. Lorsqu'on avança, la salle s'illumina d'un coup. Je distinguais nettement un échiquier géant. Derrière cet échiquier, il y avait une porte. Je la montrais du doigt aux autres et on se dirigea vers elle. Au moment où l'on allait l'ouvrir, les pièces du jeu se mirent à bouger. Un cavalier nous barra le chemin. Ron dit sombrement : «
- Je crois qu'il faut qu'on joue.
- Nous?! demandais-je
- Oui, si on veut passer, il faut jouer……………et gagner.
- Je suis nulle aux échecs! dis-je.
- T'inquiète moi je suis assez doué.
- Heureusement, ajouta Harry
- Moi de même, je suis une merde aux échecs, rajouta Hermione.
- Bon, Hermione, tu te mettras là, dit Ron en pointant une place du doigt. La pièce qui y était s'écarta. Harry, tu vas prendre place sur le cavalier ici, et Alyssa, tu te mettras à la place de la reine. »
Je hochais la tête et m'installai à la place de la reine. Elle s'écarta avec une révérence. Ron commença à nous donner des instructions. Je du mettre le roi adverse en échec plusieurs fois. Puis, il me plaça à une place stratégique. Il mit Hermione à un autre endroits puis dit à Harry : «
- Quand j'aurais joué, il faudra que tu te place là, dit il en désignant une place du doigt, après, on aura gagné et Alyssa ira récupérer l'épée du roi adverse.
- Ok ! » dis-je. Harry m'approuva. Il se fit assommer par un cavalier adverse et Hermione voulu se précipiter vers Ron. Harry lui dit non. Elle resta donc en place. Harry bougea et nous mirent le roi adverse en échec. J'allais récupérer son épée. Hermione couru voir Ron. Elle nous dit : «
- Allez-y, je reste avec lui. » Nous opinâmes et nous partîmes.
Je me souviens que lorsque nous sommes arrivés au miroir du Rised, ce n'était pas Rogue mais Quirell qui y était. Il a sorti sa baguette et je me suis baissée. Le rayon vert est passé à 2 millimètres de moi. Je me suis relevée vivement et j'ai sorti ma baguette. Alors, Quirell m'a relancé le même sortilège et je me suis écartée. J'ai fais semblant d'être morte. J'ai entendu Harry crier mais il n'a pas pu venir jusqu'à moi. J'ai entendu une voix d'outre-tombe qui à dit à Quirell de me laisser vu que j'étais morte. Puis il a demandé à Harry de lui donner la pierre philosophale. Tout à coup, quand Harry s'est placé devant moi, je lui ai fait un signe discret. Il m'a donné la pierre que j'ai cachée dans ma poche. Puis il y a eu une grande lumière blanche et je me souviens de plus rien. Je me suis réveillée dans l'infirmerie, Avec des tas de friandises au bout de mon lit. Quand Dumbledore vit que j'étais réveillée, il vint m'annoncer que tout était rentré dans l'ordre. Je lui demandais ce qu'ils avaient fait de la pierre. Il me dit que quand il était arrivé, il y avait de la poussière à la place du corps de Quirell et dans ma main, une trace rouge mais il n'y avait pas de pierre. Je m'affolais à l'idée que Voldemort avait récupéré la pierre mais Dumbledore me dit qu'il n'en était rien. Il me prévint également que je vivrais éternellement. «
- QUOI ?!!!
- …ternellement.
- Ce n'est pas possible !
- Si. Vous en êtes la preuve.
- Comment?
- La pierre à fondu dans votre main et s'est incrusté dans votre corps. Elle s'est répandue dans votre sang. Lorsque vous souhaiterez transformer du plomb en or, vous n'aurez qu'a posé la main sur ce que vous voulez changer et la magie opérera.
- Ce n'est pas possible!
- Rien n'est impossible.
- Mais…
- Mais rien. Reposez vous maintenant. Il faut que vous soyez prête pour le banquet de fin d'année.
- D'accord. Á plus tard professeur.
- Soyez en forme pour le banquet miss Black. »
Il repartit. Je restais seule sur mon lit blanc d'infirmerie à me demander comment ça se faisait que la pierre s'était intégrée dans mon corps. Une visite de l'infirmière me fit me sentir moins seule. Puis, vers la fin de la matinée, Draco et sa bande de serpentard vinrent à l'infirmerie. «
- Alors c'est vrai?
- Quoi?
- Tu va être éternelle.
- Á ce qu'il paraît, oui.
- Bon c'est pas tout mais je suis venu ici pour un but précis. Pas que ça me dérange de faire un brin de causette avec toi, mais j'ai des choses à faire. Bonne journée Black.
- Toi aussi Malfoy.
- Juste un avertissement, si tu continu à traîner avec Potty, la belette et miss je-sais-tout, tu va devenir comme eux.
- C'est à dire…?
- Une sang pur contaminée.
- Eh! bien je ne te retiens pas. Va faire ce que tu as à faire! dis-je avec humeur.
- Comme tu le sens ! Allez venez, on s'arrache. »
Ils partirent en direction du bureau de mme Pomfresh. Je restais donc la seule l'infirmerie vu que Harry était sortit ce matin. Je dus m'endormir car lorsque je me réveillais, c'était le lendemain matin. L'infirmière me laissa sortir. Je pus aller me préparer pour le banquet. Ce fut énorme. Les serpentards, qui avaient une grosse avance sur nous par rapport aux points, tirèrent une tête de six pieds de long quand Dumbledore annonça qu'il avait des points de dernière minute à distribuer. Nous gagnâmes la coupe avec 100 points de plus que les serpentards. Ce fut la joie générale aux tables des Serdaigles, des Poufsouffle et des Gryffondor. Le soir, en rentrant dans la salle commune des gryffondor, je vis tout le monde faire la fête. Quand ils me virent entrer, Harry, Ron et Hermione me sautèrent au cou. On se dépêcha d'aller dans les dortoirs des garçons ( Car les garçons ne peuvent pas aller dans ceux des filles. Me demander pas pourquoi, c'est comme ça. Si vous voulez savoir, allez lire l'Histoire de Poudlard ou demander à Hermione. ) et nous parlâmes de tout ce qui s'était passé le soir où Voldemort à été empêcher de revenir. Puis, Hermione et moi sommes allées nous coucher. Le lendemain, nous étions prêt mais triste de partir. Nous dîmes au revoir à Hagrid et nous montâmes dans le train. Nous étions en route pour les vacances.

Laissez moi plin plin de commentaires, tous sont bon à prendre

trés belle histoir, trame narative trés bien adapté, mais un seul défau, je trouve que tu utilise un langage trop famillé et vulgaire dans certain passage de dialogue comme

Citation :

Moi de même, je suis une merde aux échecs, rajouta Hermione

voila sinon trés bien fait

Merci, comme c'est ma première fanfiction, j'étais pas sûre d'avoir bien mis en place l'histoire.

il y a bien quelque acrro dans l'histoir et quelque éreure de style sur les personage, mais sinon je trouve sa trés bien pour la première fois

Ok, par contre, il faudra attendre un peu pour la suite, je suis en train de la taper à l'ordi.

moi j'ai plusieur histoir que je pourais écrire, mais je reste uniquement sur celle de Dante pour le moment, sa par dans un délire pas possible (tien d'ailleur après avoir finit mon entrainement j'écrirais la suite)

oki, j'ai hâte de la lire:pirat:

Voilà, les vacances se sont finies. Nous étions de retour dans le Poudlard Express. Hermione partit voir si Ron et Harry étaient arrivés. Elle revint dix minutes après. «

- Ils ne sont pas là, lâcha t'elle perplexe.

- Ils vont sûrement ne pas tarder, tentais-je de la rassurer.

- Mais tu sais comme ils sont, ils vont toujours se fourrer dans les problèmes. Tu as vu l'année dernière, hein! Et puis……

- Je suis sûre qu'ils vont être là pour le banquet, coupais-je.

- D'accord, j'ai compris, je me tais.

- Mais ce n'est pas ce que je voulais dire, protestais-je d'un ton faussement innocent. »

Elle me regarda un instant l'air sérieux puis éclata de rire. Je conservais un peu mon air le plus innocent puis, je la rejoignit. Nous rîmes jusqu'à en avoir mal aux côtes. On rigola pendant un bon quart d'heure, puis, on se reprit. Pendant un moment, on resta silencieuses puis, Hermione me demanda si ça ne me dérangeais pas de restée seule pendant qu'elle allait voir Neville. Puis elle s'en alla après s'être assurée que je ne lui mentais pas pour lui faire plaisir. Je lui assurais que non et elle partit. J'étais donc seule pour un bon moment. Je dus m'endormir car lorsque j'ouvrit les yeux, il était plus de 4h00. Je levais les yeux vers la fenêtre pour voir si Hermione était en vue. J'aperçut un mouvement du coin de l'œil. Je me retournais vivement et je vis que 2 garçons me regardaient d'un air énigmatique. Je reconnus Blaise Zabini et Draco Malfoy. Immédiatement, je leur demandais : «

- Qu'est-ce que vous faîtes là?

- On est venu dans ce compartiment car c'est le seul qui n'est pas plein, répondit Malfoy.

- Sans blagues! Dis-je.

- Juré! Sur la chose la plus chère qui me tient à cœur…

- Et c'est quoi la chose qui te tient le plus à cœur? Coupais-je.

- Ma dignité de sang pur. Tu as la parole d'un Malfoy.

- C'est un grand honneur car les Malfoy tiennent toujours leur paroles, rajouta Zabini.

- Non, c'est pas vrai? Ironisais-je.

- Arrête de faire l'idiote, ça ne nous plaît pas plus que toi d'être obligés de partager ce compartiment, me jeta Malfoy.

- Parle pour toi! Marmonna Zabini.

- Tu as dit quelque chose, Blaise? Demanda Malfoy.

- Non rien. »

Je me résignais à devoir les supporter tout le voyage et je me calais plus confortablement dans mon siège. Je me rendormis car Lorsque je me réveillais, Malfoy et Zabini avaient déjà mis leurs uniformes de sorciers. Apparemment depuis un bon moment. «

- Tu sais que je te préfère quand tu dors, me dit Malfoy d'un ton ironique.

- Très drôle!

- Tu devrais te dépêcher de mettre ton uniforme, on est bientôt arrivés.

- Tournez-vous, ordonnais-je

- Pourquoi? Demanda Malfoy sarcastiquement.

- Parce que sinon, je vous jette un sortilège de cécité!

- Et c'est quoi ça?

- Un sortilège qui te rends aveugle. Je ne connais pas l'antisort donc je serais toi, je me dépêcherais de me tourner, menaçais-je en sortant ma baguette l'air sérieux.

- D'accord, d'accord, t'énerve pas! Dit-il l'air pas rassuré.

- Grouille!

- C'est bon. Marmonna Malfoy en s'exécutant. Zabini en fit de même. »

Je m'assurais qu'ils étaient bien tournés puis, je mit ma jupe par-dessus mon jean. J'enlevais mon jean ensuite et le pliais. Je le rangeais dans ma valise. Ensuite, je quittais mon gros pull pour enfiler mon chemisier par-dessus mon débardeur. Je pliais mes affaires et les remis dans ma valise à la place de mon uniforme. Malfoy grogna et demanda si j'avais bientôt fini. «

- T'as de la chance que je ne prenne pas mon temps aujourd'hui, d'habitude je suis longue, très longue. Au moins une heure…

- Bon sang, arrête de parler et dis-moi si je peux me retourner! Beugla t'il.

- Ok, pas la peine d'être vénère!

- C'est pas trop tôt! Par Merlin, mais qu'est-ce que les meufs peuvent-être longues pour se changer! Jura t-il. »

Je ne répondis rien mais je pensais très fort : " Pardonnez-moi ô! Dieu des dieux, roi parmi les rois, grand maître des Serpentards! "(^^) Je rangeais correctement mes affaires et m'assit ensuite. Blaise m'observait l'air impénétrable. Je lui rendis son regard. Nous détournâmes les yeux en même temps. Je pris mon livre que j'avais sortis de ma valise et je m'installais confortablement. Je l'ouvris à la page où j'étais rendue, et je commençais à lire. Malfoy m'observa d'un air renfermé. Zabini, lui, était plus ouvert. Son visage exprimait une attitude zen. Je les ignorais et plongeais dans ma lecture. Peu après, Hermione revint au compartiment. Elle commença : «

- Je suis désolée Lyly, je voulais rester juste le temps de ………… »

Elle se figea et se tut brusquement en apercevant mon "adorable" compagnie. Elle se renfrogna et dit :

- Qu'est-ce qu'ils foutent là eux ?

- Eux, ils ont un nom sang-de-bourbe, et…, commença Malfoy.

- Ils sont venus s'incruster parce qu'il n'y a plus de place ailleurs et parce qu'ils avaient la flemme de brutaliser des élèves pour se libérer un compartiment. Ils sont donc venus s'incruster ici. Et ce n'est pas la peine de t'excuser pour t'être laissée distraire, je te pardonne d'avance. Dépêche-toi de t'habiller, on arrive, coupais-je.

- Oui, je me dépêche. »

Après un dernier regard mauvais vers Malfoy, elle prit son uniforme et ordonna aux garçons : «

- Tournez-vous!

- Oh! Non, pas encore! Protestèrent t'il en chœur.

- Eh! Si! Pas de chance! Vous auriez du choisir un autre compartiment! Se moqua Hermione.

- Je te jure que tu vas me payer ça Granger! Et toi aussi Black! Promis Malfoy avant de s'exécuter. Zabini en fit de même. »

Hermione était rayonnante. Avoir réussi à avoir le dernier mot avec Malfoy la rendait heureuse et presque euphorique. Elle m'adressa un sourire éclatant, que je lui rendis, et commença à s'habiller.

Arrivé à Poudlard, le train ralentis. Hermione et moi sortîmes en premières car Zabini avait eu la galanterie de nous laissé passer. Harry et Ron n'étaient toujours pas arrivés. Je commençais également à m'inquiéter mais je n'en laissais rien voir. Dans la grande salle, le plafond magique était de la couleur du temps. Il pleuvait des cordes. Nous prîmes place à la table et en attendant la répartition, j'engageais la discussion ave Nick-quasi-sans-tête, le fantôme de Gryffondor. Soudain Hermione me dit : «

- Alyssa!

- Quoi?

- Harry et Ron! Ils ne sont pas arrivés!

- Oui, tu as raison, c'est bizarre.

- Au fait, …

- Quoi?

- J'ai oublié de te dire que la sœur de Ron vient cette année. J'ai discuté avec elle tout à l'heure dans le train.

- Ah! Oui, c'est vrai, je l'ai aperçus.

- Tiens, d'ailleurs, la répartition va commencer.

- Harry et Ron vont louper ça… »

Je me tu car McGonagall avait commencé à appeler les premières années. La Répartition dura un grand quart d'heure. Enfin, Dumbledore nous dit bon appétit et nos assiettes se remplirent. Je vis Hagrid nous adressé un regard perplexe. Je crois qu'il se demandait où étaient Harry et Ron. Quand nous eûmes fini de nous restauré (pour moi c'est quand j'eu fini d'engloutir tout ce qui me passait sous le nez^^), Nous nous dirigeâmes vers les dortoirs. Devant la porte de la tour, nous croisâmes Harry et Ron. Ils arrivaient apparemment et était vraiment très sales. Hermione leurs sauta au cou. Moi je me contentais d'un visage vraiment joyeux. Je dis :

- Pardonnez-moi, je ne vais pas vous serrer dans mes bras, vous me paraissez un petit peu sales.

- On comprends! Me dit Harry.

- Bon c'est pas tout, mais vous nous raconterez votre arrivée dans la salle commune. J'ai pas envies de dormir dehors ce soir. Dis-je.

- Oui, c'est sûr! Dit Ron.

- Le mot de passe c'est "Rossignol". Intervint une voix masculine derrière nous. »

Je me retournais et vit Fred et Georges qui arrivaient avec Lee Jordan. Ils étaient suivis par huit élèves de deuxièmes années comme nous. Je les connaissais et ils étaient très sympathiques. Il s'agissait de Gawyn et Galaad Trakand, de Logain Temapon, de Mazrim taim, de Rand Al'Thor, de Matrim Cauthon, de Perrin Aybara et de Lia David. Ils parlaient de quelque chose a priori très marrant. Fred me dit : «

- Bah! Alors, on est pas content de nous voir? Au fait, Ron, comment t'es arrivé?

- Je … commença Ron.

- Peu importe pour l'instant, ce qui compte, c'est qu'on ne dorme pas dehors. "Rossignol" dis-je à l'attention du portrait. »

(c'est trop long)

suite :


Flash back : (récit à la troisième personne)

Alyssa se trouvait sur la plage en Espagne. Elle regardait les nuages, leurs imaginant une forme à partie de laquelle elle imaginait une histoire. Elle bronzait en même temps. Au bout d'un moment, elle se leva et partit se baigner. Elle était seule sur la plage, elle venait de se rendre compte que la nuit était tombée. Cela ne la dérangeait pas, elle avait demandé aux Granger de ne pas s'inquiéter, elle voulait rester seule un moment pour réfléchir aux évènements de l'année passée. Elle était donc pas particulièrement pressée. Elle plongea et nagea un petit bout de temps. Soudain, elle se rendis compte qu'elle n'avait plus ses jambes. Elle paniqua en réalisant qu'elle avait une queue de poisson. Elle vit aussi qu'elle pouvait respirer sous l'eau. Elle remarqua une forme qui nageait dans sa direction. Elle prit peur et voulut remonter à la surface. A sa grande surprise, une voix l'appela par son nom. «

- Alyssa.

- Quoi? Qui m'appelle? Qui êtes-vous?

- Chut! N'aie pas peur, nous sommes des sirènes, comme toi.

- Moi?

- Oui, en partie. Mais, il existe de nombreuses autres facettes de toi que tu ne connais pas encore. Mais ce n'est pas à nous de te les révéler. Il faudra les découvrir par toi-même. Nous, nous sommes là pour t'apprendre tes pouvoirs de sirènes. Il faut que tu nous suives dans le royaume des sirènes pour suivre cet enseignement. Tu passeras une journée chez nous ce qui équivaut à une heure de ton temps. Viens…

- Je… Comment… D'accord, j'arrive. »

Elle se rendit donc au royaume des sirènes et apprit à se transformer quand elle le voulait. Elle rentra chez les Granger et n'en avait rien dit à personne. Elle n'en revenait, comment aurait-elle pu expliquer quelque chose qu'elle-même ne comprenait pas…

Fin du Flash back.



( Désolé, je fais encore une ellipse. Voilà, nous sommes au moment où Ginny jette le journal de Jedusor. )



J'étais en train de discuter avec Mimi Geignarde lorsque quelque chose la traversa. Mimi poussa un hurlement perçant et rentra dans ses toilettes, tout en m'éclaboussant copieusement bien sûr! Je ramassais l'objet en question et il s'avéra que c'était un journal noir. Je l'ouvrit et je put lire, en tout petit, Journal intime de Tom Elvis Jedusor. Je le feuilletais mais il était vierge. Visiblement, ce Tom n'avait pas jugé utile d'écrire dedans (Ahh! J'ai fais une réplique digne du R.I.S qui passe sur TF1^^). Entendant des pas dans le couloir, j'arrachais une page et je laissais le journal retombé par terre. Je dis à l'attention de Mimi : «

- S'il te plaît, ne dis à personne que j'étais avec toi en train de parler de tu-sais-quoi, ok? Merci. »

Je sortis en trombe et je me faufilais par une entrée secrète. J'avisais Ron, Hermione et Harry qui entraient dans les toilettes des filles où je me trouvais quelques secondes auparavant. Je courus droit dans mon dortoir parce que je voulais examiner la page du journal que j'avais arraché. Une fois assise sur mon lit, je dépliais le bout de parchemin jauni et je l'observais. Il était très vieux, c'était une certitude. Je pris une plume de balbuzard et la trempais dans de l'encre. J'écrivis : Je m'appelle Alyssa Black et j'ai 12 ans ½. La page absorba l'encre après quelques secondes. Pétrifiée de surprise, je vis apparaître ces quelques mots :

- Je suis enchanté de faire ta connaissance Alyssa. Comme tu l'as sûrement deviné, je m'appelle Tom Elvis Jedusor. Je préfère que l'on m'appelle Tom. J'ai environs 17 ans dans ce journal. Qu'est-ce qui t'amènes à écrire dans ce journal Alyssa?

- Je l'ai trouvé dans un endroit plutôt humide et j'en ai arraché une page, j'espère que ça ne te dérange pas…

- Du tout. Ainsi, tu es en 2ème année? Es-tu de sang pur?

- Oui, je suis en 2ème année et oui, je suis de sang pur pourquoi?

- Non, pour rien. C'était juste une question comme ça.

- D'accord, je vais te laisser maintenant, je dois descendre manger. Á bientôt.

- Bon appétit.

Puis, je repliais la page et la glissais dans ma poche. Comme je l'ai dis, je suis descendu manger. Ensuite, je suis aller me couché après avoir dit bonne nuit aux inséparables et à Harry, Ron, Hermione, Fred, Georges et Lee Jordan.



( Je vais maintenant aller directement au passage dans la chambre des secrets.)



Je m'étais caché derrière une statue. Je n'avais pas envisagé que Harry puisse découvrir l'entrée de la chambre des secrets. Pourtant, il l'avait trouvé. Il était fourchelang et très intelligent. Je le regardais courir vers un endroit que je n'avais pas encore regardé. Je distinguais une forme sombre étendue sur le sol. Avec horreur, je compris que c'était Ginny Weasley. Puis, je vis un jeune homme très beau sortir journal que Harry avait ramassé. S'ensuit un dialogue dont je n'ai pas tout saisi mais qui dura un petit moment. Ensuite, un gros serpent sortit de la bouche de la statue de Salazar Serpentard, celle-là même derrière laquelle j'étais cachée. Je me recroquevillais un petit peu plus sur moi-même. Puis, Harry partit combattre ce monstre ans les tunnels. Je me précipitais vers Ginny. Elle était d'une pâleur inquiétante. J'entendis le jeune homme me dire : «

- Ainsi, voici aussi Alyssa Black, eh! Bien, que fais-tu la jeune beauté?

- Qui êtes…… commençais-je.

- Qui je suis?

- Tom Elvis Jedusor ? !

- En personne, ou plutôt bientôt en personne. Et toi tu es la fille de Sirius Black?

- Apparement. Mais que fais Ginny ici? Et pourquoi elle est toute pâle? Et pourquoi avez-vous fait sortir le monstre que Harry essaie de tuer? Et…

- Du calme, me coupa t'il.

- Mais…

- Si le Basilic essaie de tuer Harry, c'est parce que je l'ai ordonné, si Ginny Weasley est toute pâle, c'est parce que je suis en train de puiser dans ses forces pour revivre, elle est venue me rejoindre ici de son propre gré.

- Je ne vous croie pas!

- Tu as tort, et tu devrais me tutoyer, je ne suis pas un vieillard infirme.

- Vous…Tu n'es pas réel!

- Que si! Et je sais tout de toi. Sirène et héritière de Sirius Black et de Lord Voldemort. Quand tu m'as dit ton nom, j'ai tout de suite deviné qui tu étais. Ma fille. Car je suis Lord Voldemort.

- C'est impossible!!! Mon père est Sirius Black! Pas toi!

- Ha! Ha! Ha! Ha! Ha! »

Ce fut sur un rire démoniaque qu'il m'adressa sa dernière parole car je partis en courant, accablée par ses révélations. Je laissais Ginny au soin de Harry qui me vit partir en courant sans avoir le temps de faire autre chose que de crier mon nom. Je me suis rendu compte que j'avais agis égoïstement. Malheureusement, il était trop tard. Je courus me réfugier dans mon dortoir. Je restais prostrée sur mon lit pendant de long moment, à caresser Demoniak. Puis, un brouhaha venant de la salle commune me tira de mon état léthargique. Je me levais doucement, prenant garde à ne pas réveiller Demoniak qui s'était endormie sur mon oreiller, et je descendis lentement dans la salle commune. Beaucoup d'élèves s'étaient rassemblés et étaient en pleine discussion. Je vis les inséparables et j'allais à leur rencontre. Je leur demandais : «

- Que se passe t'il?

- La chambre des secrets existe, et Potter ainsi que les deux Weasley en reviennent.

- Ils sont où?

- A l'infirmerie. Mais… »

Je ne lui laissais pas le temps de finir sa phrase. Je couru à l'infirmerie. Arrivée devant la porte, je restais un moment indécise, devrais-je dire que j'y étais aussi, ou bien garder le secret? Finalement, je décidais que je verrais ça sur le tas. J'entrais comme une furie dans l'infirmerie et la première chose que je vis, ce fut Harry, blessé un peu partout, qui me regardais. «

- Tu y étais n'est-ce pas?

- …

- Pourquoi tu ne t'es pas arrêtée quand je t'ai appelé?

- …

- Réponds, s'il te plaît…

- Je…Je ne pouvais pas…Je suis désolée…Ginny va bien?

- Oui, mais, que faisais-tu là-bas?

- Rien… »

Je le laissais là, et je repartis comme j'étais venue. Apercevant Hermione plus loin, je marchais à sa rencontre. Puis, je vis qu'elle me regardait bizarrement. Elle commença à parler : «

- Alyssa, Harry me l'a dit, tu y étais, pourquoi… »

Je ne la laissais pas continuer. Tournant les talons, je m'enfuis au dehors, la laissant plantée là. Je ne pouvais pas leur dire, j'étais la fille de deux criminels. Sirius Black, célèbre pour avoir tuer treize moldus, et Lord Voldemort, le plus grand mage noir de toute l'histoire. Comment est-ce que je pourrais les regarder en face après ça? Et puis, je me voyais mal leur disant que j'étais une sirène, et qu'il y avait probablement de grandes chances pour que je sois autre chose en plus, encore plus bizarre. Finalement, j'arrivais au bord du lac. Désorientée, je m'y laissais tombé lamentablement. J'étais égoïste. Plus encore, j'étais la fille de deux monstres. Je me laissais aller aux larmes. Je pleurais pendant longtemps, je compensais toutes les fois où j'ai voulu pleurer mais où mes yeux sont restés secs. Je pleurais pour tout ce dont j'aurais du pleurer mais où les larmes sont restées coincées dans mon corps. Je pleurais au point de me déshydratée. C'est ainsi que me trouva Blaise Zabini, pour une fois sans Malfoy. Il vint se placer derrière moi en silence. Ce n'est que lorsqu'il plaça ses mains sur mes épaules que je m'aperçu de sa présence. M'éloignant involontairement, je me retournais vivement. Sans savoir pourquoi, sa présence me faisait du bien. Il esquissa un geste pour s'écarter mais, je me blottis dans ses bras. Là, je me laissais aller encore une fois à mes pleurs. Il me réconforta autant qu'il le put. Je lui en fus reconnaissante et mes pleurs finirent par se tarirent. Il déposa un baiser sur mon front et se leva. Il repartit comme il était venu, sans un bruit. Sans le savoir, il avait ôté un poids de mon cœur. Je me levais à contre-cœur et je me dirigeais d'un pas décidé vers le château. J'allais tout dire à Ron Hermione et Harry.

Ainsi, le jour du banquet, nous étions redevenus les meilleurs amis du monde. Tout ça grâce à Blaise Zabini, un serpentard ami de Draco Malfoy, l'ennemi juré de Harry. Bien entendu, je leur avais tout dit sauf ce passage là, et sauf celui du journal de Jedusor. Puis, vint le jour du départ. Cette fois, m'installais dans un compartiment toute seule. J'avais besoins de réfléchir. Hermione le comprit et ils me laissèrent tranquille. Toute seule dans un compartiment vide, je méditais sur ce que j'avais appris cette année.